Tous les jours au sein des entreprises sont posés des actes non conformes à la réglementation. Dans ces conditions, certains salariés décident d’enlever les voiles sur les faits et dire la vérité, il s’agit des lanceurs d’alerte. Ces derniers étant exposés à plusieurs risques se doivent d’être protégé contre tous dangers potentiels, c’est là qu’intervient le CES. Suivez le fil de cet article pour avoir connaissance du rôle du CES. Focus !
Qu’entend-on par lanceur d’alerte ?
Peut-être appeler lanceur d’alerte toute personne physique qui dénonce sans contrepartie financière, mais avec sincérité des informations sensibles. CSE s’est donc engagé à protéger les lanceurs d’alertes contres tous potentiels risques. En effet, les informations que pourrait dénoncer le lanceur d’alerte peuvent être soit un abus de pouvoir, une menace ou une atteinte d’intérêt général ou encore une violation. En général, le lanceur d’annonce est un salarié de la structure concernée, dans le cas échant, le lanceur d’alerte devra impérativement être bien informé sur le sujet.
Cette définition est marquée par certains faits comme la suppression de la référence à l’acte désintéressé. En plus de cela, au cas le salarié aurait connaissance des éléments dans le cadre de son travail, ce dernier n’est pas contraint d’être bien informé avant de pouvoir lancer l’alerte. Pour terminer, vous avez la suppression de la gravité pour la suppression des engagements internationaux.
Comment procéder au signalement ?
Contrairement à l’ancien dispositif, le nouveau n’impose pas à ce qu’une procédure de signalement interne soit au préalable soit entreprise. Le constat fait est que cela met parfois fin à la procédure. C’est la raison pour laquelle la procédure a finalement été modifiée. À compter du premier septembre 2022, le lanceur ‘alerte n’est plus tenu de saisir au préalable le signalement interne. Ce dernier à la possibilité de passer directement au signalement externe. Au cas où l’information pourrait sauver des vies, une divulgation populaire est admise.